samedi 28 mars 2009

LA LIBERTE:L'homme est né libre c'est pourquoi il ne peut pas mourir esclave

Sommes nous libres ou encore,sommes nous en tant qu’êtres vivant, responsables de tout ce que nous ressentons par nos différents organes de sens, de ce que nous disons à propos de nos diverses sensations face aux différentes excitations de notre monde intérieur et de notre milieu de vie extérieur ?Pourquoi la question se pose en philosophie et est-ce seulement le philosophe qui se la pose ?La question se pose car la société est un lieu de formation et de rencontre de personnalités différentes et donc de conflits qui nécessitent un arbitrage par cette institution dont Platon dit qu’elle ne saurait manquer dans aucune cité véritable et qu’on nomme Justice. Si l’homme n’est pas libre en toute circonstance ou dans certaines circonstances de sa vie, les mots tribunal, justice, innocence et culpabilité,responsabilité et irresponsabilité, récompense et peine et d'autres encore n’auraient plus de sens. Car seul l’être qui sait agir en choisissant les moyens de son action, les fins de son action, les moments de son action et ses stratégies, et qui mesure les conséquences de son action et capbable de choisir d’agir ou de ne pas agir, de parler ou de ne pas parler, est susceptible d’être acclamé ou blâmé, récompensé ou puni. Théoriquement, l’homme est dans cette disposition existentielle puisque c’est par ce pouvoir qu’il se distingue de l’animal qui est esclave de son instinct et du programme naturel qui se déploie en lui. Mais est-ce suffisant pour le déclarer libre ou capable de liberté ?Sigmund Freud a établi et théorisé l’existence d’un inconscient psychique, c’est-à-dire d’un lieu où se trouveraient des éléments ignorés par la conscience et qui sont susceptibles de faire penser ou parler ou agir l’homme à l’insu de la conscience qui prétend tout contrôler et contre les principes de la rationalité qui peut tout digérer. D’après cette théorie de l’inconscient, "tout ce que nous faisons, disons, et même, sommes, est profondément lié à ce que nous avons fait, subi, etc., dans notre tendre enfance" oubliée par la conscience. Autrement dit, le passé de l’homme est une cause qui fait agir l’homme et il peut être une cause ignorée et non maîtrisée. Dans cet univers, les hommes que nous sommes ne sont ne sont donc pas libres, c’est-à-dire que nous ne sommes pas les maîtres absolus de nos actes, pas maîtres de nous-mêmes, et notre histoire ne nous appartient pas. La liberté ne serait alors face à ce déterminisme dans la vie psychique de l’homme, qu'une utopie de la raison humaine qui par cette revendication d'un droit à une liberté qui n'a jamais existé ou qui a été confiquée, exprime le malaise existentiel de l'homme dans la nature et dans la société.Car qui demande à être libre se sait déjà encerclé par des forces tyraniques . La naissance du concept de liberté est fille de l'histoire de la souffrance de l'homme dans le monde.La liberté est l'autre nom de la mauvaise posture de l'homme au sein du monde. Car,en plus de ce ce déterminisme de l’inconscient qui fait obstacle à la liberté, il y aurait un autre déterminisme dans la nature qui fait que toute chose, tout être vivant sortant de la nature porte en lui des lois nécessaires par lesquelles cette mère possessive la tient dans ses composantes, dans ses propriétés et même dans ses comportements. Mais il faut que la liberté existe car il faut de la justice dans la cité et entre les cités. Il faut que l'homme soit libre, peut importe qu'il le soit déjà par nature avant de perdre ce statut existentiel ou qu'il apprenne à le devenir ldans son existence individuelle ou pris dans sa dimension collective en tant que peuple ou cité ou Etat ou nation.S’il faut à la société distinguer le Bien et le Mal et les sanctionner dans un système des valeurs, il lui faut nécessairement un homme libre. Mais comment sauver la liberté dans l’ordre de la nécessité et dans celui des lois conventionnelles de la société ? L’intelligence de la philosophie consiste entre autre à construire des paradoxes et à surmonter des paradoxes. L’homme raisonnable ne saurait demander ou revendiquer le pouvoir et le droit naturels ou acquis ,de faire tout ce qu’il veut, car il deviendrait alors un être égale à lui-même et à Dieu ou à un animal.Mais qui saurait prétendre lui ôter son pouvoir de toujours penser et de toujours vouloir dans la plus petite des prisons qui lui laisserait encore un souffle de vie et la possibilité d’entreprendre des scénarios et des actions pour son affranchissement physique?L’homme devient capable de liberté lorsqu’il découvre qu’il existe une liberté pour les dieux sans besoin ni passion au ciel , et une liberté pour les vies humaines sur terre dont l’essence est de se chercher une issue dans les prisons du monde. Pour les architectes du bien de Nqel Jab, la redécouverte de notre liberté et sa ré-appropriation est une nécessité vitale car, chacune des âmes de ces corps du monde que l'on appelle hommes n'est qu'un projet d'humanisation clairement et librement formulé devant Le Grand Architecte et à déposer son projet anthropologique authentique quelque part dans l'océan de la Prince Jotnaam Ndigil qui accueille les âmes quand elles quand elles descendent dans le monde de l'humanisation en y prenant matière et forme et quand elle elle reprennent le chemin du retour avec leur succès ou leur échec. Voilà pourquoi les architectes du bien n'ont pas besoin de supprimer Dieu pour être libres,car Dieu est pour eux la source première de toute liberté en tant que choix dans son univers infini disséminé en toutes chose mais aussi en tant que témoin et juge de toute absence de liberté ou de réappropriation de soi dans le monde du brouillard et des choix originels faits depuis les temps de la transparence entremêlés et étragngement semblables dans le monde des brouillard et de la cécité et de la rupture avec soi-même à cause de la contagion et du mimétisme,de la tyranie, de la cupidité et de la lâcheté et de la peur de la solitude pour aller à la recherche de soi-même. Etre libre pour les architectes du bien, c'est être conscient de la rupture existentielle qui nous sépare de nous-mêmes et du reste du monde,pour mieux nous voir et pour mieux voir le monde et y retrouver en toute trnsparence pour quelle raison nous sommes ici et maintenant dans ce gigantesque paradis devenu par une étrnage métamorphose une prison d'une capacité de d'égarement et de dépossion de la liberté dont la nature n'a point eu l'intelligence ou n'a pas voulu construire ni pour la bête ni pour l'homme. L'homme est né libre c'est pourquoi il ne saurait mourir esclave.L'enfer pour nous autres architectes du bien, ce n'est des flammes qui dévornent toute matière, mais l'oubli de soi, l'oubli qui frappe l'âme qui avait choisi devant le grand architecte de devenir tel homme parmi les humains, de combattre pour telle cause quand elle est entrée dans les matières opaques du monde.Chaque âme a voyagé par le droit chemin, par son droit chemin indiqué par sa science et sa volonté.Les âmes de l'enfer sont les âmes qui sont condamnés à errer dans le monde et dans la matière jusqu'au moment où elles vont retrouver leur fruit authentique dans le monde qui tuera tous les germes pathogènes que la consommation des fruits étrangers à son choix originel inoculèrent à son être dans le monde des sens et du brouillard.Cette recherche à la redécouverte et à la réalisation et à l'approrpriation ultime de soi peut durer des siècles et des siècles sans succès ce que cherche chaque est tellement infiniment petit qu'il est devenu difficilement visible dans la multitude des choses du monde.

mardi 24 mars 2009

BIENVENUE A NQEL JAB / LA CONCERTATION DES ARCHITECTES DU BIEN

Penser et agir dans la solitude et ensemble pour construire la Cité des Architectes du Bien
Cette cité n'a pas encore un visage défini...Elle sera définitivement achevée lorsque l'humanité toute entière se retrouvera dans un même et unique grain de sable...Celui du bien.